Kousei trébucha au pied du tableau, s’étalant de tout son long a quelques centimétre de celui-ci..
Un gémissement, puis une grimace de douleur aigue, cette foutu douleur au ventre ! Il fallait dire qu’il ne s’était pas raté..
Enfin bon, Kousei avait toujours été comme ca, maladroit, un peu boulet sur les bords, il faut dire.
Il se releva donc difficilement, et s’epousseta en ronchonnant, téte toujours baissé sur ses vêtements…
Après quelques secondes, il finissa par redresser la tète, tombant nez a nez avec … Du sang.
Non, ce n’est pas les écritures, ni même son nom qui attirèrent son attention en premier lieu.
Ce fut le sang.
Il recula doucement par reflexe, une expression de plus en plus apeuré prenant forme sur son visage d’une pureté angélique.
Un pas. Un murmure. « L’autre », allait finir par vouloir sortir, a ce rythme…
Kousei secoua vivement la tète…*Non, pas maintenant, soit patient… Encore un peu.* Il respira un bon coup et fit passer ses doigts sur plusieurs noms encore inconnus, avant d’arriver au sien.
La, il arrêta son doigt et fixa le numéro placé prés des écritures ensanglanté. « Sakito Kousei. N°014 »
Il se racla la gorge et le répéta à haute voix, tentant de prendre une certaine assurance face a tout ces événements. Ce ci était son numéro de casier, et bien soit… Plus de temps a perdre, Kousei avança jusqu’à son casier respectif, et le contempla quelques instants avant de l’ouvrir, appréhendant légerment ce qu’il allait découvrir a l’intérieur…
Une chevalière… Une…Magnifique chevalière blanche.
Alors cela désignait l’école a l’aquelle il allait se dévouer ? Très bien.
« L’autre » pressa Kousei d’enfiler le bijou, alors que celui-ci le contemplait avec une admiration rare. Il répondit a cette autre si impatient dans un grognement et passa la belle chevalière a son doigt.
Voila une bonne chose de Faite. Kousei joua avec, la caressant avec délicatesse, avant de relever la tète, dégageant ses cheveux blond avec élégance, dévoilant un… magnifique rictus . Le pire des rictus, sadique, joueur, mauvais…
« L’autre » , avait finit par avoir raison de l’innocence du jeune Kousei.
L'autre, semblait étre la.